Les oiseaux blancs sont une source permanente d'inspiration. La grande aigrette, omniprésente depuis quelques années, attire toujours mon regard.
Cet après-midi là, j'ai porté mon attention sur les valeurs des zones éclairées et ombrées, qui, suivant l'incidence du soleil, paraissent plus ou moins blanches. Le cou de l'oiseau se toilettant, quoique éclairé, paraissait très nettement plus sombre que les ailes.
J'ai tenté quelques croquis, puis une aquarelle.