Avec le froid qui sévit toujours, les poires, tombées depuis l'automne, ont enfin attiré un oiseau: la grive litorne. Sans doute comme sa cousine (Aline:-) la Draine capable de digérer les boules du gui, la Litorne a-t-elle des capacités d'assimilation supérieures aux autres turdidés pour ces poires. Car les merles y touchent à peine, alors qu'ils en sont à consommer du tournesol.
Cette grive se nourrissait à quelques mètres de ma fenêtre, je l'ai aquarellée en gros plan. Mais plus tard dans la journée, comme elle restait toujours là, j'en ai profité pour regarder le reflet dans l'oeil ,ce que je fais peu souvent, Je voyais ma maison! J'ai pris l'appareil pour tenter de fixer l'image.