C'est en roulant que notre guide a repéré cette couleuvre de Moïla, émergeant d'une touffe. Pas inquiète ou confiante en son immobilité, elle nous a regardé une dizaine de minute, puis s'est rentrée tout doucement. Nous nous sommes alors approché à pied et elle a rejoint son trou, non sans écarter son cou à la façon des najas.
Le même soir, une vipère des sables nous avertit de sa présence en bruissant fortement. Le son, émis par le frottement des écailles, est étonnement puissant. Eclairée, elle a fini par s'enfouir de quelques mouvements imperceptibles, ne laissant qu'une trace circulaire sur le sable. On commence alors à se demander s'il n'y en a pas une à chaque pas :-)
<posts plus anciens< précédent < > suivant
Si vous souhaitez recevoir par mail l'annonce des nouveaux posts, envoyez un message en cliquant là, ou dans la rubrique "contact"
De même si vous ne souhaitez plus la recevoir.